• Conciliation travail-études

    Tout d’abord, lorsque le travail et les études sont conciliés, les jeunes acquièrent plusieurs compétences qui ne pourraient pas être obtenues autrement. Ils apprennent la valeur de l’argent. Par exemple, les étudiants issus de famille à revenu moyen se voient souvent octroyer de l’argent par leurs parents lorsqu’ils ont besoin de payer soit des biens, soit des services. Ce qui est tout à fait normal puisqu’ils n’ont pas d’emploi. Par contre, s’ils travaillent et que leurs parents décident de ne plus rien leur donner, ils découvrent la vrai valeur de l’argent, car ils se rendent compte qu’il faut faire des efforts pour obtenir ce que l’on désire. Également, cela permet aux jeunes d’être plus autonomes. C’est-à-dire qu’ils ont maintenant la chance de choisir dans quoi ils veulent vraiment dépenser leur revenu et s’informent alors de ce qu’ils consomment. Il ne faut pas oublier que lorsqu’on travaille et qu’on étudie, le temps devient précieux. La planification est de mise pour bien réussir. Alors on peut très bien constater qu’avoir un emploi quand on étudie apporte de nombreux bénéfices si le tout est concilié.

    Ensuite, pourquoi est-ce que l’on priverait les jeunes de travailler pendant leurs études? Cela serait tout à fait ridicule parce qu’ils veulent s’investir encore plus dans la société. Ils travaillent, paient des impôts, dépensent de l’argent. Cela les préparent au marché du travail, ils développent de nouvelles compétences reliées à l’emploi en tant que tel et comprennent mieux comment notre société d’aujourd’hui fonctionne. Si les étudiants ont envie de participer dans notre économie, il vaut mieux les encourager que leur refuser le droit de travailler. De plus, ils sont une main-d’œuvre bon marché alors les engager ne peut qu’être bénéfique pour les commerçants. Les jeunes devraient être récompensés de vouloir s’impliquer dans la société et non réprimandés.


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  • Commentaires

    1
    globetrotter70 Profil de globetrotter70
    Mercredi 28 Mars 2012 à 21:39

    Ton texte est satisfaisant essentiellement dans le premier paragraphe. Après ça se complique car tu as tendance à donner beaucoup d'informations sans vraiment faire de liens entre elles ou les expliquer. Tu fais peu d'erreurs de français, ce qui est un gros avantage. 8/10


    Tout d’abord, lorsque le travail et les études sont conciliés, les jeunes acquièrent plusieurs compétences qui ne pourraient pas être obtenues autrement. Ils apprennent la valeur de l’argent. Par exemple, les étudiants issus de famille à revenu moyen se voient souvent octroyer de l’argent par leurs parents lorsqu’ils ont besoin de payer soit des biens, soit des services. Ce qui est tout à fait normal puisqu’ils n’ont pas d’emploi. Par contre, s’ils travaillent et que leurs parents décident de ne plus rien leur donner, ils découvrent la vrai valeur de l’argent, car ils se rendent compte qu’il faut faire des efforts pour obtenir ce que l’on désire. Également, cela permet aux jeunes d’être plus autonomes. C’est-à-dire qu’ils ont maintenant la chance de choisir dans quoi ils veulent vraiment dépenser leur revenu et s’informent alors de ce qu’ils consomment. Il ne faut pas oublier que lorsqu’on travaille et qu’on étudie, le temps devient précieux. La planification est de mise pour bien réussir. Alors on peut très bien constater qu’avoir un emploi quand on étudie apporte de nombreux bénéfices si le tout est concilié.

    Ensuite, pourquoi est-ce que l’on priverait les jeunes de travailler pendant leurs études? Cela serait tout à fait ridicule parce qu’ils veulent s’investir encore plus dans la société. Ils travaillent, paient des impôts, dépensent de l’argent. Cela les préparent au marché du travail, ils développent de nouvelles compétences reliées à l’emploi en tant que tel et comprennent mieux comment notre société d’aujourd’hui fonctionne. Si les étudiants ont envie de participer dans notre économie, il vaut mieux les encourager que leur refuser le droit de travailler. De plus, ils sont une main-d’œuvre bon marché alors les engager ne peut qu’être bénéfique pour les commerçants. Les jeunes devraient être récompensés de vouloir s’impliquer dans la société et non réprimandés.

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